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J’évite donc de me pencher sur le guidon et tout le haut de mon corps tend, sans affectation, à se rapprocher de la verticale.
Voilà, cher monsieur, les quelques détails que vous avez sollicités de mon obligeance bien connue et de ma courtoisie dont l’éloge n’est plus à faire.
Pour les renseignements complémentaires, consultez mon prochain ouvrage (sous presse) : Les Confessions d’un enfant du cycle.