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LA FLAMME ÉTEINTE
Dans les temps où j’étais un tout petit jeune homme, j’eus l’occasion de venir habiter dans un hôtel de la rue Oberkampf.
— Pourquoi la rue Oberkampf ? me direz-vous.
— Pourquoi pas la rue Oberkampf ? vous répondrai-je froidement. La rue Oberkampf ne vaut-elle point telle ou telle autre artère ?
Et puis, d’ailleurs, je crois bien que ce n’était pas la rue Oberkampf que j’habitais alors, mais bien la rue Notre-Dame-de-Nazareth.