Page:Allais - Rose et Vert-Pomme.djvu/253

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

comme il n’avait jamais gagné aux plus beaux temps de la tante de Clamart.

Avec des gestes de somnambule, il ramassait son gain et nous le reprêtait pour entretenir son jeu.

Jusqu’au matin, cette veine se maintint, vertigineuse, folle.

Sans nous communiquer un mot, nous avions tous la même idée : Cette fois, on ne peut pas dire que c’est Lucie qui le trompe.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Le lendemain, nous apprîmes que la jeune fille avait été déterrée et violée, pendant la nuit.