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Une à une, chaque pièce de son costume, agilement détachée, vole à l’entour.
Le rajah s’allume !
À chaque morceau de vêtement qui tombe, le rajah impatient, rauque, dit :
— Encore !
Et encore un morceau du vêtement de la petite bayadère tombe, et plus impatient, plus rauque, le rajah dit :
— Encore !
Maintenant, la voilà toute nue !
Son petit corps, jeune et frais, est un enchantement.
On ne saurait dire s’il est de bronze infiniment clair ou d’ivoire un peu rosé. Les deux peut-être ?
Le rajah s’est levé tout droit et a rugi, comme fou :
— Encore !
La pauvre petite bayadère tâtonne si elle