Page:Allais - Vive la vie.djvu/185

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Quels souvenirs, mon Dieu !

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Comme si ces souvenirs l’étranglaient, Harry Covayre absorba d’un coup un copieux grog au wiskey où il n’y avait pas du tout de sucre, et de l’eau pas d’avantage.

— Et au bout de combien de temps, fit l’un de nous, ton âme réintégra-t-elle sa véritable enveloppe ?

Harry répondit froidement :

— Le lendemain matin seulement, quand je fus dessoulé.