Page:Allart - Les Enchantements de Prudence.djvu/392

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ce cœur tranquille et rassuré qui ne conçoit plus d’affection ni d’études en dehors de vous. Car si la pensée du créateur se mêle aux objets, la reconnaissance suit la douceur ; et si bien des conditions imposées aux mortels sont dures ; si Dieu est parfois impénétrable, toujours du moins ressort-il de l’ensemble des choses et reparaît-il triomphant.

Ô Dieu donc triomphant, c’est sur vous que l’homme appuie sa faiblesse et cette débile élévation que vous lui avez donnée. Préservez-la, et inspirez encore à notre recueillement, des prières, non pas dignes d’être portées à vos pieds, mais capables du moins d’entretenir nos âmes dans les saintes pensées réservées pour la fin !


FIN

Clichy. — Impr. Paul Dupont rue du Bac d’Asnieres, 12.