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Page:Allart - Lettres sur les ouvrages de madame de Stael.pdf/12

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abandonne le génie, pour le chercher où il n’est pas ; ou bien l’on court se convaincre soi-même, par une funeste expérience, des vérités qu’il avait trouvées et qu’il eût suffi seul pour enseigner. Il est donc utile de revenir à lui, étonné qu’on est, en le retrouvant, d’avoir pu l’abandonner si long-temps.

Puissent ces lettres faire qu’il s’élève des voix pour exprimer mieux que moi l’admiration que j’éprouve !