peu près du même sujet, mais envisagé sous un autre rapport.
Je vais donc, pour ainsi dire, ajouter un postscriptum aux principaux chapitres dont j’ai déjà corrigé les usages surannés en revoyant cette nouvelle édition.
I
Le savoir-vivre à table. — Épiphanie et réveillon.
On place le gâteau de l’Épiphanie sur la table avant de le couper ; puis le domestique ou le maître de la maison, selon le degré de cérémonial ou d’intimité qui préside au dîner, recouvre le gâteau d’une serviette et le découpe sous la serviette, afin qu’on ne puisse pas s’apercevoir si le couteau rencontre la fève, laquelle, maintenant, est souvent remplacée par de petits bonshommes en porcelaine. On fait circuler le gâteau autour de la table étant toujours recouvert ; chacun prend un morceau sans le voir, sous la serviette. Celui ou celle qui rencontre la fève le dit aussitôt, et, la plaçant sur une assiette, l’envoie à la personne qu’elle choisit pour roi ou reine.
Je conseille à une jeune fille, si elle se trouve
