un habit. Voilà longtemps que le gilet blanc est abandonné pour la toilette de cérémonie avec l’habit ; on porte le gilet noir excessivement échancré, avec ou sans transparent.
Le gilet blanc, en piqué pour l’été, en lainage pour l’hiver, se porte avec la redingote croisée.
J’ai déjà dit que c’était la main ou le bras droit qu’un homme offre à une femme qu’il doit conduire, et cela dans n’importe quelle circonstance ; d’abord parce que la place d’honneur est à droite, puis parce que, si l’homme est en uniforme, son épée, s’il donnait le bras gauche, irait s’empêtrer dans la robe de la femme ; parce qu’enfin les figures de la contredanse sont combinées pour cela, et qu’il n’est pas possible de faire tantôt d’une manière, tantôt d’une autre. Encore, si l’on marche dans la rue, à droite est toujours le mur, à gauche le ruisseau.
Un homme ne doit jamais faire de visite à des femmes du monde accompagné d’un chien, à moins qu’elles ne l’aient prié avec une insistance particulière de le leur amener.
Un homme ne doit pas s’empresser de remettre son chapeau sur le seuil de la porte d’une pièce où se trouve une femme, mais attendre qu’il soit de l’autre côté de la porte.
