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Page:Améro - Le Tour de France d’un petit Parisien.djvu/425

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LE TOUR DE FRANCE D’UN PETIT PARISIEN


C’était un spectacle des plus émouvants (page 420).

Jean se voyait déjà comme « le fils de la Maison », dans cette troupe ambulante. Alors, il regarda autour de lui avec stupeur, avec effroi, ces voitures luisantes de peinture, ces baraques de planches et de toile au milieu desquelles il allait peut-être s’engager à vivre. Que Risler s’adoucît réellement, qu’il s’humanisât, et il devenait, lui, Jean si intransigeant sur les choses de l’honneur, le familier de toute cette bohème, courant le monde avec ces no-