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Page:Amable Floquet - Histoire du privilege de saint Romain vol 1, Le Grand, 1833.djvu/27

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Batz, en Bretagne, eut saint Pol ; et Léon eut saint Jouin, tous deux vainqueurs d’un serpent ; le Mans, saint Julien, saint Léon et saint Pavace ; Vendôme, saint Bié, ou Bienheuré, vénérable ermite ; Metz eut saint Clèment ; Poitiers, sainte Radegonde ; Tarascon, sainte Marthe ; Bordeaux, saint Martial ; Saumur, saint Florent ; Tonnerre, le saint abbé Jean. Outre cela, on connaît encore saint Théodore ; saint Victor, de Marseille ; saint Second, d’Asti ; saint Cyr, de Venise ; saint Bertrand, évêque de Comminges ; saint Samson, de Dôle ; saint Hilarion, d’Epidaure ; saint Donat, évêque de Corinthe ; saint Arnel, du diocèse de Vannes ; saint Benoît, d’Arezzo ; saint Derien, de Landernau ; saint Jean, de Reaume ; saint Meen, abbé de Saint-Florent ; saint Paul, de Malthe ; saint Véran, archevêque d’Arles ; saint Amand, du diocèse de Tournay ; saint Marcel, évêque de Paris. En Normandie, outre notre saint Romain, n’avons-nous pas saint Nicaise, qui