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en priant Dieu. » (Citoyen du 26 novembre 1891)[1].
Arrivé au Canada il fut plusieurs mois sans pouvoir travailler. Cependant, dans l’automne de 1854, il commença à donner des leçons au collège de la Pointe-aux-Trembles. Il enseigna les éléments de la physique et les mathématiques. Il était, dit-on, bon chimiste et bon mathématicien.
De 1856 à 1859, monsieur Cornu occupe le poste de Ste-Élisabeth. Il enseigne dans une petite école et évangélise dans les environs. Il fait peu de bruit et
- ↑ La dernière partie, de ce récit n’est pas exacte. Voici ce que monsieur le pasteur Marc Ami, un des témoins oculaires de cette catastrophe écrit : « Je descendis avec monsieur van Buren pour voir si quelqu’un des nôtres ne se trouvait pas dans les cabines. En entrant dans notre cabine, nous y vîmes monsieur Cornu occupé à changer d’habits. Nous le croyions mort, l’ayant laissé couché dans un lit. Se trouvant dans l’alcôve supérieure, il avait pu échapper à la mort. Si nous étions restés dans cette cabine, pas un de nous n’eût péri… Nos effets étaient presque tous secs.” (Fidèle Messager du 25 novembre 1891, et le « Naufrage de l’Annie Jane. » page 43.)
Éditeur.