Mais le Grand-Bâtard fond sur nous.
Nous avions, tombant à genoux
En dépit des huées,
Comme des soldats craignant Dieu
Prié ; ses troupes, faisant feu,
Sur nous se sont ruées.
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Ses cuirassiers, formant le coin,
Nous abordent, le glaive au poing,
En gaillards énergiques.
Pour nous, massant le bataillon,
Nous offrons à leur tourbillon
Le hérisson des piques.
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Et des hauteurs vers nous accourt
D’Affry guidant ceux de Fribourg,
Scharnachthal ceux de Berne
Et d’Oberland ; et leur effort
A fait courber, comme un ressort,
L’ennemi qui nous cerne.
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