Page:Amiel - Charles le Téméraire, 1876.djvu/42

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Fléau de ses voisins, il était redouté
Même du Saint-Empire et de la chrétienté.
Sans respecter nuls droits, sans consulter l’Église,
Il voulait, nous dit-on, tout changer à sa guise.
Or, il vient aujourd’hui de vider les arçons.
Les rois, par nous sauvés, nous doivent un beau cierge,
Mais nous savons d’où vient la victoire, et disons :
        Loué soit Dieu ! gloire à la Vierge !