Page:Amiel - Grains de mil, 1854.djvu/112

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


PRÉFACE


Un étourdi qui passait,
Cueillant et jetant la rose,
Voit l’autre qui ramassait
Et l’entend aussi qui cause.
— « Suivons cet avis, dit-il :
Mots épars sont du babil,
Groupés, ils font quelque chose. »