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Page:Amiel - Jour à jour, 1880.djvu/252

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Les derniers papillons voltigent sur l’abîme .....
Clochettes des troupeaux, gazons au vert si doux,

Voiles fendant au loin l’espace, eaux murmurantes,
Sereine immensité, forêts, brises errantes,
Tout est suave et pur, tout est paisible et beau.

Le cirque est enchanteur. De ce vaste élysée,
Où tout l’écrin du ciel tremble dans la rosée,
Quel hymne va monter ? — C’est le cri d’un corbeau.