Page:Amiel - Jour à jour, 1880.djvu/257

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Soyons dignes ! honte à qui s’en dispense !
On n’abaisse pas l’homme impunément.

Au Dieu souverain, puisqu’il le réclame,
De la liberté payons le tribut.
Gouverner son coeur, modeler son âme,
C’est l’ordre pour l'homme et c’est le salut.