Page:Amours, galanteries, intrigues, ruses et crimes des capucins et des religieuses, 1788.djvu/256

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À ce factum, qui n’est pas plus avantageux aux mœurs des religieuses qu’à celles des cordeliers, on pourrait joindre plusieurs autres exemples aussi véritables et qui contribueraient à prouver que, dans l’âge de la vigueur, la nature ou l’amour, ou bien le diable, triomphe toujours des guimpes, des cordons, des grilles et des vœux. Si partout les effets de l’amour ne sont pas si violents, ce n’est que la faute des circonstances.




CHAPITRE XIV.

Capucins trouvés par la police de
Paris en lieux de débauches.


On lit dans la Police de Paris dévoilée, page 292 du tome 1, que deux capucins furent trouvés par l’inspecteur de la police dans le cabaret du Cerf-Montant ; ils s’étaient amusés tous deux avec une seule fille, nommée La Marin.

Il est dit dans la Chasteté du clergé dévoilée, tome 1, page 22, qu’un autre capucin, nommé Jean-Baptiste Le Girard, fut trouvé dans une mai-