paroisses de Paris et un curé de Lyon semblaient agréables au ministère. La nonciature gardait son silence accoutumé. M. l’abbé Guitrel soupira.
En entendant ce soupir, madame de Bonmont, qui était très bonne, se reprocha ses pensées égoïstes. Elle s’efforça de s’intéresser aux affaires de M. l’abbé Guitrel et elle lui demanda très affectueusement s’il ne serait pas bientôt évêque.
— C’est à Tourcoing, lui dit-elle, que vous vous présentez. Est-ce que vous ne vous déplairez pas dans cette petite ville ?
M. l’abbé Guitrel affirma que le gouvernement des fidèles occuperait assez leur pasteur ; que le diocèse de Tourcoing, d’ailleurs, était l’un des plus anciens et des plus vastes de la Gaule septentrionale.
— C’est, ajouta-t-il, le siège du bienheureux Loup, apôtre des Flandres.
— Vraiment ? dit madame de Bonmont.
— Il faut se garder, reprit M. l’abbé Gui-