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liers de mon diocèse incertains et divisés, afin d’assurer la paix de l’Église dans la République. Quant à mon clergé séculier, ajouta le prêtre d’une voix ferme, j’en répondrais comme un général répond de ses troupes.
Ayant ainsi parlé, M. Guitrel s’excusa d’avoir si longuement développé sa pensée et abusé des instants précieux d’une Excellence.
Le vieux Loyer ne répondit pas. Mais il inclina la tête en signe d’approbation. Il trouvait que Guitrel, pour un calotin, n’était pas un trop mauvais esprit.