Page:Anatole France - La Rôtisserie de la reine Pédauque.djvu/393

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âme toujours épanchée et ruisselante, comme l’urne de ces fleuves qu’on voit représentés en marbre dans les jardins ; aucun ne me rend cette source inépuisable de science et de morale, où j’eus le bonheur d’abreuver ma jeunesse ; aucun ne me donne seulement l’ombre de cette grâce, de cette sagesse, de cette force de pensée qui brillaient en M. Jérôme Coignard. Je le tiens, celui-là, pour le plus gentil esprit qui ait jamais fleuri sur la terre.



FIN