Page:Anatole France - Le Testament politique et religieux du président Cassignol, paru dans L’Écho de Paris, 01 mars 1898.djvu/8

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ma croix, rien que ma croix, ne l’oublie pas ». À peu de temps de là, il écrivait à l’abbé Jean, son frère : « Je ne suis et ne puis qu’être désormais extraordinairement malheureux ».