Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/141

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À la porte du cimetière était un vieux mendiant appuyé sur sa béquille ; Jean lui donna ses petites pièces d’argent, et content poursuivit son chemin dans le monde.

Vers le soir, le temps devint affreux ; Jean se

Vignette de Bertall
Vignette de Bertall


hâtait pour trouver un abri, mais bientôt survint la nuit noire. Enfin il arriva à une petite église solitaire sur le haut d’une colline ; la porte était ouverte, il entra pour attendre que l’orage fût passé.