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çant de grands cercles dans les airs. L’un d’eux seulement, le plus jeune, resta auprès d’elle. Il posa sa tête dans le giron de la pauvre fille, qui caressait ses blanches ailes, et ils passèrent ainsi toute la journée ensemble. Après ce soir, les autres
revinrent, et, lorsque le soleil se fut couché, ils reprirent leur figure naturelle.
« Demain nous partons, dit l’aîné, et nous ne reviendrons qu’au bout d’un an. Nous ne voudrions pas te laisser ici : as-tu assez de courage