Page:Andersen - Souliers rouges, et autres contes, trad. Grégoire et Moland, 1880.djvu/107

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Il avait atteint trois cent soixante-cinq ans.


LE DERNIER RÊVE DU CHÊNE


Au sommet de la falaise haute et ardue, en avant de la forêt qui arrivait jusqu’aux bords de la mer, s’élevait un chêne antique et séculaire. Il avait justement atteint trois cent soixante-cinq ans ; on ne l’aurait jamais cru en voyant son apparence robuste et fière.

Souvent, par les beaux jours d’été, les éphémères venaient