Page:Andersen - Souliers rouges, et autres contes, trad. Grégoire et Moland, 1880.djvu/167

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... Il la tenait d’un vieux et vénérable saule.

LE SARRASIN


Vous êtes, certes, bien des fois passé en automne à côté d’un champ de sarrasin ; vous devez vous souvenir qu’alors il est tout noir, comme si une flamme ardente y avait porté l’incendie.

En Danemark, nos paysans disent : « C’est la foudre qui a rendu le sarrasin si noir. »

Mais, quand je leur ai demandé comment c’était arrivé, ils n’ont pas su me répondre. Cependant je le sais maintenant ;