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Page:Andry - Cléon à Eudoxe.djvu/203

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sçavoit l’art des pompes aspirantes, ce qu’il fait même en dormant ; tant la nature a voulu nous faire voir que ces choses n’avoient pas besoin de notre attention. Mais moins il y a d’adresse & d’art de notre côté, dans des mouvemens si proportionnez & si justes, plus il en paroît dans celui qui a si bien disposé toutes les parties de notre corps, &c.

» Il n’y a genre de machines qu’on ne trouve dans le corps humain. Pour succer quelque liqueur, les lèvres servent de tuyau, & la langue sert de piston, &c. »

Si Messieurs de S. Côme se flattent qu’on mettra une telle observation au rang de celles qui se font chez eux ; ils peuvent revenir de leur erreur.

Mais ne finirai-je donc point cette premiere Partie ? passons à la seconde.


Fin de la premiere Partie.