Page:Andry - L’Orthopédie, tome I.djvu/133

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leures que les autres ; parce que les poils y étant plus étroitement enracinés, y tiennent par conséquent beaucoup mieux.

Ce ne seroit pas donner une notion suffisante de l’extérieur du Corps, si nous n’ajoutions ici en même tems 1o. ce qui concerne les proportions extérieures de ce même Corps, 2o. les variétés qui se remarquent dans la forme de quelques unes de ses parties, 3o. les goûts de différens peuples sur ce sujet.

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