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PREMIERE PARTIE.
1o. De la saignée. 2o. De l’estat des forces dans la maladie. 3o. De l’action du pouls dans la fièvre. 4o. Du volume du sang, quand la transpiration est diminuée. 5o. Des effets de l’abstinence pour suppléer au défaut de la transpiration. 6o. De l’usage des purgatifs & de leur action. 7o. Du ressort des parties qui composent le corps humain. 8o. Du temps necessaire pour l’entiere circulation du sang, &c.
n ne sçauroit disconvenir
sans renoncer à ce qu’il y a
de plus certain par l’experience,
que la saignée ne soit un des plus
grands secours de la Medecine.
Mais que ce soit l’unique remede
à toutes les maladies, c’est ce
qu’on ne sçavoit point encore,
& ce qu’on apprend heureusement
dans la Dissertation de M.