Page:Andry - Traité des aliments de carême, 1713, tome II.djvu/122

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fournit une occasion de débauche aux libertins. C’est un mal, on l’avouë ; mais faut-il, à cause des libertins, que les malades soient moins secourus ? D’ailleurs, quand il ne se vendroit que de la grosse viande en Carême, qui a dit à l’Anonyme que les libertins ne s’en accommoderoient pas ? il y a des pieces de boucherie qui valent bien les meilleures volailles. Nous retranchons plusieurs autres refléxions, pour venir à la troisiéme Partie.