Page:Andry - Traité des aliments de carême, 1713, tome II.djvu/419

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& suiv. Difficulté de se regler là-dessus par rapport aux differens tempéramens, 204. 210. S’il est vrai que selon les Casuistes, un homme puisse manger à sa collation les deux tiers de ce qui lui peut suffire pour sa nourriture pendant un jour, 207. Raison pour laquelle les Casuistes ont fixé la collation à huit ou dix onces de pain, 209. Il ne faut pas se regler pour la collation sur ce qu’on a mangé à dîner, 212.
Communautez. Quelles sont les collations ordinaires de la plûpart des Communautez Ecclesiastiques & Regulieres aux jours de jeûne, 204.
Continence. Sçavoir si le vin est contraire à la continence, 343. Mauvaise conclusion pour, ibid. Sentimens contre, 344. & suiv.
Corde. Sentiment sur la force d’une corde imbibée d’eau, 296. combattuë, 297.
Corps humain, dequoi composé, 247.


D


Dessechement. Son origine & ses effets, 262.
Digestion. Maniere dont elle se fait, 292.
Des dispenses du jeûne à l’égard des goûteux, 165. Des graveleux, ibid. Des enfans de douze à quatorze ans, 172. Des femmes grosses, 159. Des nourrices, ibid.
Dissolvant. Raisons qui prouvent que l’eau est le meilleur dissolvant, 291. Réponses à ces raisons, 292.


E


Eau. Sa définition, 240. Elle étoit anciennement l’unique boisson des hommes,