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Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1700.djvu/23

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Approbation de M. de Saint-Yon Medecin ordinaire du Roy, Docteur Regent de la Faculté de Medecine de Paris, Professeur en Chymie dans le Jardin du Roi.



LEs gens aisez mangent & boivent si épouventablement, & les miserables vivent si pauvrement, qu’il est impossible que dans les uns & dans les autres, il ne s’engendre une tres grande quantité de toutes sortes de vers. Le Traité que Monsieur Andry, mon Confrere, donne au Public sur cette matiere, est si plein d’érudition, il est écrit si poliment, il y a dedans tant de recherches, & il est remply de si bons remedes, qu’aprés l’avoir lu attentivement, je souhaite qu’il paroisse au plûtôt dans le Public. A Paris ce 4. Decembre 1699. DE SAINT-YON.