Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/13

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purgatifs, dès que les humeurs en fougue menacent d’attaquer les principales parties du corps. Je traitois un pleuretique, auquel étoit survenu un transport au cerveau : Le mal commençoit, j’en examinai tous les symptômes ; après avoir remarqué une fermentation violente d’humeurs, je crus qu’il falloit recourir au purgatif. Je le fis, Monsieur, persuadé qu’on ne pouvoit se tromper avec vos maximes, qui sont les fruits d’une si longue expérience, & d’une méditation si profonde. Ce purgatif, pris avant la coction