Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/353

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très-plats, très-blancs, & d’une chair satinée, qui paroît huileuse quand ils sortent de mon corps ; c’est ce que j’ai trouvé après les avoir examinés mieux que jamais, avec ces Médecins, par le moyen de mes loupes & de mes microscopes.

J’ai reconnu par ce nouvel examen, qu’au bout marqué I. il y a quatre petites élevations rondes, & perlées avec quatre autres semblables par-dessous ; qu’entre ces deux rangs il regne un creux de 3. en 4. qui n’a de profondeur, que ce que lui en laissent les huit élevations qui le bordent.

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Ce bout n’est pas si épais, à beaucoup