Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/55

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ri : le grand nombre que nous avons vu de ces Vers, nous a mis en état d’en juger, & nous en avons un cabinet garni ; c’est de quoi le Public est témoin. Mais ce qu’il y a de plus, c’est que nous les avons fait sortir du corps même des Malades qui les ont rendus.

J’ai renvoyé aux derniéres pages de ce Traité, trois Lettres qui m’ont été écrites sur le sujet des Vers ; les deux premières d’Amsterdam, par M. Hartsoeker, de l’Académie Royale des Sciences. La troisiéme, de Rome, par M. Baglivi, Docteur en Médecine, & Professeur d’Anatomie dans la Sapience.

On verra dans la première Lettre, des remarques curieuses sur la longueur extraordinaire du Ver plat, ou, comme j’ai cru le devoir nommer, du