Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome II.djvu/314

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Au lieu du sixiéme, Les difformités qu’on apporte en naissant, viennent aussi de Vers qui ont rongé les parties tendres du fœtus, j’ai mis, Les difformités qu’on apporte en naissant, peuvent venir quelquefois de Vers qui auront rongé les parties tendres du fœtus, & par ce moyen auront causé des tumeurs ou des tortuosités.

Que devient après cela, la réflexion de l’Auteur de la Lettre, lorsqu’il dit qu’on peut juger de la bonté des autres aphorismes de mon Livre, par cet échantillon ? Ne pourroit-on point dire avec plus de vérité, que cet échantillon suffit pour faire juger de la sincérité de mon Censeur ?

Le cinquiéme article est, que je place le mercure doux au rang des mauvais remedes contre les Vers, parce qu’étant souvent réitéré, il peut causer le flux de bouche, mais que je lui fais pourtant la grace de l’admettre quand il y a quelque soupçon de Vers Vénériens. Sur quoi l’Auteur de la Lettre dit, que je lui ferois plaisir de lui citer dans tout