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Sur le tapis de la terre, je vois des gens endormis, — sous la terre, je vois des gens ensevelis. — Tant que je contemple le désert du néant, — j’y vois ceux qui ne sont pas encore venus et ceux qui sont déjà partis.
16.
Ce vieux caravansérail qu’on appelle le
monde, — où loge le cheval pie du
jour et de la nuit, — est la salle de fête
où cent Djemchids ont passé, — le palais où cent Bahrams se sont reposés.
17.