Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Séparateur


Cette Roue sous laquelle nous tournons — est pareille à une lanterne magique. — Le soleil est la lampe ; le monde l’écran ; — nous sommes les images qui passent.


42.
Séparateur


Ils assurent que nous vivrons avec des houris aux jardins du paradis. — Moi je dis qu’il est bon d’avoir du vin près de soi. — Prends ce qui est au comptant, fais fi de ce qui est à crédit, — car le son du tambour n’est agréable que de loin.


43.