Aller au contenu

Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/60

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Séparateur


La Roue qui nous meurtrira toi et moi, — détruira mon âme pure et la tienne. — Assieds-toi sur l’herbe, vide la coupe, car avant longtemps — l’herbe poussera sur ma cendre et sur la tienne.


80.


Séparateur


Lève-toi et n’aie cure de ce monde éphémère, — sois gai et passe l’heure dans la joie. — Si la nature qui est femme était fidèle, — ton tour ne serait pas venu d’être aimé.


81.