Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/65

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Depuis que la Lune et Vénus ont paru dans le ciel, — quelle splendeur égale celle du vin couleur de rubis ? — Je me demande ce que les marchands de vin — peuvent acheter avec notre argent en échange de ce qu’ils vendent.


90.
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Un beau visage au bord d’une onde pure, du vin, des roses ; — tant que je le pourrai, je vivrai ces délices. — Du jour où je suis né, et maintenant, et jusqu’à la fin, — j’ai bu, je bois, je boirai du vin.


91.