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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/87

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Jusqu’à quand appartiendras-tu aux couleurs et aux parfums ? — Jusqu’à quand poursuivras-tu les laides et les belles ? — Même si tu es la source de Zemzem ou l’eau de la vie éternelle, — à la fin tu rentreras dans le sein de la terre.


134.
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Hélas ! le temps de ma jeunesse est passé. — Hélas ! le printemps clair a fui. — L’oiseau étincelant qui s’appelle jeunesse, — je ne sais ni quand il est venu, ni quand il s’est envolé.


135.