Page:Angellier - À l’amie perdue, 1920.djvu/223

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TABLE




I


Pages
I. 
Les marronniers mettaient leurs premiers bourgeons verts 
 3
II. 
D’où vient, dans cette ville étroite, au ciel obscur 
 4
III. 
Parmi tant de regards qui recherchent le sien 
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IV. 
Je brave tes efforts et ton courroux acerbe 
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V. 
Quand la Grande-Ourse monte au-dessus du vieux toit 
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VI. 
Ô toi dont le visage à la grave beauté 
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VII. 
Nos yeux seuls ont été les muets interprètes 
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VIII. 
Les caresses des yeux sont les plus adorables 
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IX. 
Nos yeux sont devenus étrangement semblables 
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X. 
Quand je t’embrasserai sous un treillis de roses 
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XI. 
Et lorsque, près des lis et des roses trémières 
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XII. 
Ah ! doux yeux résignés pour qui je fus injuste 
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