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Le Guerrier.
Que la nuit maternelle apaise ton souci !
C’est moi qui t’attendrai, comme il sied à mon âge,
Au respect que je dois à ton plus long voyage,
À celui que commande un destin sage et pur !
Adieu, vieillard, et prends par le chemin plus sûr
Qui, laissant l’acropole et sa roide ravine,
Te mène vers ton toit en tournant la colline.
(Novembre 1902. — Février 1903)