Page:Angellier - Le Chemin des saisons, 1903.djvu/17

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LE CHEMIN DES SAISONS. Tout peureux des frimas soufferts. Le pauvre Printemps se résigne ; Mais sentant près des jours plus Jiers ^ Déjà presque railleur, il cligne Ses yeux bleus d’herbe recouverts ; Et sor^eant aux défunts hivers. Il entend, dune âme maligne^ Éclater de côtés divers. Dans les prés, le bois et la vigne. Les essais des prochains concerts.