Page:Angellier - Robert Burns, I, 1893.djvu/391

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cljnl maigre cl Hiffirilo. I.Vxploilation coiisislail. piirlic (mi tomqui .s'élcndenl entre une rivière el les eollines el (|iie les Keossjns app i • holfiis, el parti»' en terres de c|iialilé superi«Miro qu'ils nomment cro; et qu'ils fatipiaienl alors par «Irs moissons unifornu^s, sans les récon tri d'engrais nu dr fumier< «pia de lonfr> inter%alles. Les premières é etii de Miarnr profond»' l't donnant du ble ; les secondes, de marne (!■ |)i('rre sur un fond de gravier'. Les améliorations sueeessives|)arl('M| lagriculturi" >'»'>t transformée, les graniU travaux dr dnnnape, ont m m, ces terri'>. l-i' firmor aclurl pair 230 livres la où Hurns en payait ) Mais tout, alors, était à faire. I^ propriétaire disait plus tard : « Qmd j'achetai cv> terres ily a vingt-cinq ans.jr n«' 1rs avais pas vues. Elles ("" dan» !«■ plus nii-^éraldr état d épui>enn'nt rt tous li-s locataire> ., dan.s la pauvreté. Vous jugen'zdu premier de ces faits quand je vous rai que les avoines . |)nMes à couper . étaient vendue 'iô shrllini:^ sur les A '/raf . (Juand je vin» vmr mon achat, j'en fus lellcnieiil ik pendant huit ou ilix jour> que j'avain fait le projet de no plus revenir uis le pav> ^ » Hurns. Iiii-tnème. un jour (|ue la pluie avait lavé un ri dji d orge iHiiivcllniiiiit seine rt pa^M» au rouleau, le con)|)arait a iin< uc pavée *

I.

MSTALIMIO!«i A KLLIîiUM». — »4»."«ÎIES RESOUTIOJI».

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Comme l«'> bâtiment- toinKiienl en ruines, il fut convenu qn'r cnustniirait de nouveaux. Uuriio ohleiiail de M. .Miller, :)00 liues, mit bàtir une fenne complète , cono|sianl en un corps d habitation , ni gntnge, une étable jKiur le* vache*, une écurie el des haiigiir ' coustrurtions prendraient la fin de I année. 1^ ro-ultat de cette mUi. .» était qu il devait sViablir «eut dans le |m\s, en attendant que la demir' fût prête pour y amener Jane. Cell«»-<-i restait a Movs^iel, chez la mèrdr Hurns, nu rlle apprenait son futur métier de fermière.

il app«»rtail au «MnniH'ncrmeui de sa nouvelle entreprise, une ti<' pleine d appréhension el de lav»iludr. Il était cependant encore ui toute >ii vigueur et rajMble de battre, a qui Muileverait le poids le " lourd, tous les ouvriers qui travaillaient |Miur lui •. .Mais son

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