La cloche tinte au vieux clocher,
Et l’aviron suit la voix du nocher.
Sur le rivage il se fait tard.
Chantons, chantons l’air du départ :
Nagez, rameurs, car l’onde fuit,
Le rapide est proche et le jour finit.
Pourquoi donner la voile au vent !
Pas un zéphir ne ride le courant.
Quand du bord les vents souffleront,
Vous dormirez sur l’aviron.
Nagez, rameurs, car l’onde fuit,
Le rapide est proche et le jour finit.