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Les Ursulines tiennent l’école des filles.


Villars. — Un revenu de 100 livres est affecté à ce collège.

Un des maîtres, François Richardot est médiocre, négligent, peu assidu. Aussi a-t-il un nombre très restreint d’élèves.

Richardot se plaint au Bureau des Ecoles que, contrairement à ce qui a eu lieu pour ses prédécesseurs, on exige de lui les tailles et autres servis. Il sollicite l’appui du Bureau pour sa demande en décharge.

Tels sont les renseignements que nous avons pu glaner sur les Petites Écoles de l’abbé Démia dans l’Ain.

Il y a, on le voit, beaucoup de lacunes en raison de la disparition d’une partie des dossiers qui les concernent. Mais comme les documents égarés ne se retrouveront sans doute jamais, nous avons néanmoins jugé utile de rassembler ces notes dans l’espoir d’apporter notre modeste pierre à l’édifice de la reconstitution historique de l’instruction dans le département de l’Ain.

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