Les Bourgeois de Neufchâtel ne font ni la paix ni la guerre mais le droit d’emprisonner sans restriction ni condition est inconnu dans leurs murs…,
et recommence :
La Ville de — Les Bourgeois — La Ville de Neufchâtel ne fait ni la paix ni la guerre…
Il biffe les mots paix… guerre et les remet, puis :
mais dans ses murs chacun est sûr de coucher…
chacun est sûr d’une honnête…
chacun est sûr de coucher…
et finalement :
nul ne craint d’être emprisonné sans [restriction] formalités, et la Loi qui ne présume pas que d’honnêtes Bourgeois vivent comme des bandits…
Il change « vivent comme des bandits » en « soient des scélérats », et reprend :
ne permet à — leur laisse une liberté dont on ne voit pas qu’ils…
Biffant ce troisième essai, notre auteur commence derechef en haut de la page :
Messieurs de Neufchâtel… Les Bourgeois de Neufchâtel…
Messieurs de Neufchâtel… Les Bourgeois de Neufchâtel ont été plus sages que vous…