tout, quatre nombres consécutifs de la suite naturelle, sans répétition ni lacune ; et soit désignées les droites de cette troisième série, au nombre de par l’ensemble des indices des deux points qui les déterminent, en cette manière
il arrivera que les droites qui, trois à trois, auront les mêmes nombres à leurs indices (et ce sont ici, comme on le voit, celle qui appartiennent à une même colonne verticale) se couperont au même point, de sorte qu’elles ne fournirons que points d’intersection, que nous désignerons respectivement par les nombres qui forment les indices de ces droites, en cette manière
En poursuivant le même procédé, avec les mêmes attentions nous obtiendrons une quatrième série de droite, au nombre de concourant, quatre à quatre, en un même point, n’ayant ainsi que intersections, puis une cinquième série de droit, au nombre de concourant, cinq à cinq, en un même point, et n’ayant ainsi que intersections ; de sorte que nous arriverons finalement à droite concourant toutes en un point unique, désigné par
Démonstration. Comme un plus grand nombre de points ne peut qu’alonger la démonstration du théorème, sans la rendre plus difficile ; afin de fixer les idées, et pour être en même temps plus clairs et plus briefs, nous supposerons que les points dont il s’agit