Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1824-1825, Tome 15.djvu/44

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Cette relation étant donc incompatible avec la précédente, il en faut conclure que et sont infinis, et que conséquemment leur somme l’est aussi.

Il faudrait bien toutefois se garder de conclure de là que et que conséquemment

on n’a en effet qu’autant que ces deux infinies ne différent que d’une quantité finie qui s’évanouit devant eux ; et c’est précisément ce qui arrive ici ; car, comme l’on sait,

de sorte qu’on a réellement

et conséquemment

comme nous l’avions trouvé.


QUESTIONS PROPOSÉES.

Problème de situation.

De combien de manières couleurs différentes les unes des autres peuvent-elles être appliquées sur les faces d’un polyèdre régulier ; représentant tour à tour les nombres